Le sommaire
La littérature féministe est un terme donné à un genre littéraire inspiré par les experiences des femmes; la notion qui met accent sur les différences entre les hommes et les femmes mais aussi entre les femmes elles-mêmes; Il ne s’agit pas de différences biliogiques mais plutôt sociales et culturelles. Cela dit, ces experiences se distinguent définitivement par les époques et les conditions historiques.
Au XX siècle les femmes entrent de plus en plus dans le monde littéraire mais comment elles étaient au XVII siècle? Étant donné que la comparaison des oeuvres féminines est très vaste, nous avons décidé de limiter cette humble recherche en faisant la comparaison entre les deux cas de La Princesse de Clèves et Du Côté de chez Swann, deux oeuvres qui appartiennent à deux époques différentes. L’une rédigée par une femme écrivain, et l’autre par un auteur qui montre une image de l’amour inspiré par une femme.
Explorant les deux œuvres c’est bien évident que l’amour et la jalousie sont le deux thèmes principaux. Donc, dans le premier chapitre nous avons étudié la naissance de l’amour dans La Princesse de Clèves et Du côté de chez Swann, et en comparant les différentes situations chez les personnages principaux de ces auteurs, nous avons distingué les différences qui existent entre ces deux œuvres qui, chacune appartient à une époque : l’une au XXe siècle, et l’autre au XVIIe. Etant donné que la jalousie est liée à l’amour, nous avons consacré le deuxième chapitre de notre humble recherche à l’étude de ce sentiment, à connaître son aspect négatif ou positif dans la vie des deux personnages essentiels. Toutes les deux œuvres ont une fin tragique, donc le troisième chapitre de notre travail est consacré à analyser le dénouement dans ces deux œuvres.
Introduction
Pour une femme, « écrire » était toujours un moyen pour renverser l’ordre social : elle entre ainsi dans un domaine qui lui est interdit ; pourtant elle a toujours écrit. Même si on lui a fixé des conditions, elle a écrit de sa plainte d’être la mal mariée, de la chronique du quotidien, de sa délicatesse du coeur et des déchirures de sa passion.
Au XXe siècle, les femmes entrent de plus en plus dans le monde littéraire ; mais comment elles étaient au XVIIe siècle ? Étant donné que la comparaison des oeuvres féminines est très vaste, nous avons décidé de limiter cette humble recherche en faisant la comparaison entre les deux cas de La Princesse de Clèves et Du Côté de chez Swann, deux oeuvres qui appartiennent à deux époques différentes. L’une rédigée par une femme écrivain, et l’autre par un auteur qui montre une image de l’amour et de l’art.
Rien ne peut être plus fort ou plus beau qu’une relation réussie avec les autres. En effet, rien de plus fort, de plus puissant qu’une relation d’amour, ou qu’une indéfectible amitié. Pourtant il est sûrement difficile d’aller vers les autres, de réaliser une vraie rencontre. Et qu’est-ce que l’amour ? Comment pourrions-nous définir le mystère de l’amour ? Nous allons déchiffrer le mystère de cette passion destructive chez Odette, dans la défaite de Swann, dans le fameux Un amour de Swann, en le comparant avec une œuvre célèbre de Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves, rédigée au XVII e siècle.
Un amour de Swann, récit court et indépendant du reste de l’œuvre, constitue la deuxième partie de Du côté de chez Swann, et est souvent publié séparément. Proust y délaisse la première personne, le personnage principal étant Charles Swann, bien qu’on ne puisse douter qu’il soit un alter ego de l’auteur.
L’amour de Swann, l’homme le plus élégant de sa génération, l’amateur délicat et supérieurement intelligent, pour une femme sans valeur et dont il n’aime même pas le type, est analysé dans un récit plus ramassé que les autres récits de Proust. Un Amour de Swann est d’une très grande importance dans l’œuvre, car ce récit est destiné à présenter un modèle de l’amour qui, de l’aveu même du narrateur, devait avoir une influence particulière sur l’idée que celui-ci allait se faire de l’amour, et par suite sur sa conduite en amour. On y trouve aussi le premier tableau comique du ” petit clan ” des Verdurin, qui sont de riches bourgeois.